Pour le prix Nobel du mépris, il y a de la concurrence !

Pour le prix Nobel du mépris, il y a de la concurrence !

Dimanche 9 avril 2017, par André Bellon

Quand on réfléchit à la situation politique et à la présidentielle, une idée s’impose à l’esprit : pourquoi ne pas remplacer l’élection par les sondages ? Ca ferait des économies.

Le plus marrant, c’est que les journalistes et les sondeurs nous ont dit, on ne sait combien de fois, que les sondages n’influaient pas sur les résultats ; devant les échecs des sondages, ils nous ont même dit que le mieux serait de ne plus en publier.

Moyennant quoi, il n’y en a jamais eu autant.

Pour le prix Nobel des foutages de gueule, on a de la concurrence !

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