Des pouvoirs non élus décident de tout

Des pouvoirs non élus décident de tout

Mardi 18 octobre 2022, par Denys Renaud

AGENDA 2030 : désormais des pouvoirs non élus, n’ayant reçu aucun mandat pour le faire, prétendent décider seuls du destin des peuples.

Le “globalisme” d’une élite contre la souveraineté des peuples

L’étape ultime de l’agenda globaliste vise à mettre en place un gouvernement mondial entièrement privatisé, avec l’intention non dissimulée de confisquer la souveraineté des peuples et des nations, ce qui revient à détruire l’essence même de ce qui nous reste de citoyenneté.

Arguant comme prétexte que les Etats-nations seraient une structure dépassée et inadaptée pour la résolution des grands problèmes planétaires actuels, une élite richissime mais ultraminoritaire prétend aujourd’hui imposer à la planète entière son programme de “Nouvel Ordre mondial”.

Le droit, pourtant reconnu inaliénable des peuples à disposer d’eux-mêmes et à prendre en main leur destin, ne serait plus à l’ordre du jour car jugé obsolète par cette élite autoproclamée qui ne représente qu’elle-même.

Ne disposant d’aucun mandat mais en contrepartie d’un pouvoir financier quasi illimité, et ne représentant que les seuls intérêts privés des ultra-riches, elle est aujourd’hui à la manœuvre dans toutes les structures et s’arroge le droit de déterminer notre avenir, celui de nos enfants, petits-enfants et arrière-petits enfants.

Derrière un affichage d’objectifs a priori louables : sauvegarde de la planète, lutte contre les pandémies, solutions aux crises financières etc...cette élite globalisée ne fait pas mystère de ses projets de contrôle des peuples et de sa volonté de les exclure de toutes les grandes décisions.

Elle est organisée à travers des officines et des lieux opaques de décisions constituant une sorte de pouvoir parallèle privé, qui échappe au regard des opinions publiques et des médias : entre autres : l’ Open Society de George Soros, le Groupe Bilderberg, la Trilatérale, la Fondation Bill et Mélina Gates, la Fondation Rockfeller, le Forum Economique mondial de Davos de Klaus Schwab, etc..

Cette nébuleuse d’influenceurs et décideurs privés qui ont accumulé un pouvoir financier comme jamais auparavant dans l’histoire de l’humanité, s’est déjà trouvé en capacité de fausser le libre jeu démocratique dans la plupart des pays de la sphère atlantiste. Leur mainmise sur la presse et le pouvoir médiatique leur ont permis de transformer ce qui pouvait être une information pluraliste de qualité en outil de propagande univoque, ce à quoi s’ajoute une stratégie d’entrisme consistant à recruter, à gauche comme à droite les fameux “Young global leaders” du Forum de Davos, pour les financer, les former, les propulser sur orbite et les faire élire ou nommer aux responsabilités : (parmi les noms les plus connus : Blair, Merkel, Sarkozy, Macron, Boris Johnson, Ursula Von der Leyen, Trudeau, etc.. la liste est longue de ces ex-Young Global Leaders qu’on retrouve aujourd’hui au
pouvoir un peu partout.

Mais dans l’étape actuelle, elle intervient de plus en plus dans les institutions internationales, non seulement avec l’exemple de l’OMS principalement financée et pilotée par Bill Gates, mais aujourd’hui au sein de l’ONU elle-même.

Ainsi le 13 juin 2019, le Secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres et le Président du Forum de Davos, Klaus Schwab ont signé un partenariat pour « accélérer la mise en œuvre de l’agenda 2030 qui avait été conclu en 2015 pour favoriser le développement durable ». Klaus Schwab, fondateur et directeur du Forum de Davos, en même temps que membre du Conseil d’Administration du Groupe Bilderberg, a conçu un programme appelé “la Grande Réinitialisation, publié en juillet 2020 dans un ouvrage intitulé : “The Great Reset” qu’il cherche à intégrer dans l’agenda 2030 de l’ONU.

Il s’agit explicitement de mettre à profit les crises, réelles, supposées ou délibérément provoquées, pour accélérer la mise en place de ce programme en profitant de l’état de sidération des populations.

L’objectif est de recourir à une sorte de “table rase” pour instituer une “nouvelle normalité” supposée prévenir les futures pandémies, crises économiques, dérèglements climatiques au moyen mesures coercitives mondiales de type orwélien. Il s’agit de modifier l’humain et son comportement, présentés comme danger majeur pour l’avenir de la planète, d’où contrôle et surveillance numérique des populations, mais aussi eugénisme, dépopulation, automatisation, distanciation sociale, établissement d’une monnaie mondiale numérique, revenu universel,
suppression de la propriété privée, et transhumanisme pour aboutir in fine à un “homme nouveau” dans l’organisme duquel le biologique se mêlera avec le numérique.

Un spot publicitaire de ce “Great Reset”nous montre un jeune homme au sourire béat avec le slogan “En 2030 vous ne posséderez rien et vous serez heureux”.

Constat doit être fait qu’un défi nous est lancé par cette oligarchie mondialiste. A chacun d’en prendre conscience et aux peuples de décider par eux-mêmes de leur destin, car c’est la volonté générale qui doit l’emporter quels que soient les plans concoctés par une minorité puissante mais dépourvue de toute légitimité.

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