Chroniques d'une alternative refusée depuis 50 ans

Chroniques d’une alternative refusée depuis 50 ans

Mercredi 12 août 2020, par Marie Louise Eteki Otabela

Un livre de Marie Louise Eteki Otabela

Comme je le l’affirme dans l’avant-propos de ce livre qui reprend une interrogation de Fabien Eboussi Boulaga, il n’y a que les femmes qui peuvent nous sortir du chaos que la France a organisé en Afrique depuis la fin de la 2è guerre mondiale… Je dis cela non pas dans une note mais dans presque 10 livres dont le premier, un essai – qui fut un coup de maître, puis qu’il a reçu le Prix (d’excellence) Pearson en 1988 du gouvernement Canadien qui « récompense des personnes qui ont fait une contribution remarquable pour leur pays ». Ensuite dans une thèse en sciences politiques - que Le Seuil a refusé de publier en 1997 (sous prétexte que c’était trop dur pour la France, c’est Claude Lefort qui me l’a rapporté) et que Denis Pryen a fini par accepter de sortir dans un livre de 576 pages sur le totalitarisme des Etats africains, le cas du Cameroun en 2001. Qui en a parlé en France ? Classé au rayon « livre de guerre » à la Bibliothèque Inter- Armées de La Défense. Les Occidentaux qui refusent de voir l’holocauste du peuple africain depuis 500 ans au moins, ont poussé le cynisme jusqu’à aller collaborer avec les Chinois à la création d’un virus qui décime la Planète entière depuis des mois. Objectif ? Réaliser enfin le rêve de l’Homme blanc : une Afrique sans les Africains.

 Au nom des femmes, un nouveau dialogue national, édKbooks- 277 pages (20 mars 2020)