Le mépris pour le peuple est flagrant
Jeudi 13 février 2020, par
Macron , commandité par le pouvoir financier , ne se souciant pas d’être reélu ,donc n’ayant rien à perdre, ni de comptes à rendre, s’enferre dans sa solution ultra libérale, droit dans ses bottes, à force d’ordonnances permises par sa chambre de députés enfantins et totalement inconscients. Le mépris pour le peuple est flagrant.
S’appuyant sur le rejet ambiant du politique, corrompu et méprisant le peuple il s’affiche dés son élection " hors partis", et finalement sans troupes pour les municipales.
De toutes les façons rien ne peut l’atteindre puisqu’il n ’est concerné ni par le futur, ni par le peuple…
Il n’y aura pas de demain sans une nouvelle constitution, faite par le peuple et pour le peuple
Il n’y aura par de république , de laïcité, de régulation de la monnaie, de freins à l’ultra libéralisme , de souveraineté, ni d’écologie réaliste, ni de presse honorable , ni de libertés individuelles et collectives
II n’y aura pas de demain sans que les nouvelles dispositions constitutionnelles instaurent des mandats impératifs pour les députés , avec obligation donc de représenter à l’ Assemblée les besoins de leur région. Il faut un équilibre entre hommes d’expérience et jeunes élus.
Il n’y aura pas de demain sans que le peuple ait accès au affaires locales, avec droit de proposition et de veto contre tout abus de l’élu.
Il ne peut y avoir d’instituions équitables définissant le rôle de l’état, souverain dans son territoire et ses pouvoirs régaliens, sans qu’il y ait parfois des referendums sur des questions d’avenir.
Tout et chacun rendu citoyen responsable sur le plan local sera concerné par les grands choix engageant le futur.
Toute autre démarche relève d’un autoritarisme suicidaire et d’un jacobinisme "royal", quasiment de "droit divin.", aggravant les fractures sociales et rendant l’avenir impossible pour un républicain laïc, social et solidaire.
En vérité "si les instituions en place ne respectent plus ce pour quoi elles ont été crées, il est du devoir du citoyen de les renverser "