LA SANTE

LA SANTE

Samedi 24 avril 2021, par Charles Garetto

« Mais tu ne meurs pas de ce que tu es malade, tu meurs de ce que tu es vivant. « Michel de Montaigne- Essais- III, 13.

Lorsque l’on dit « salut », on souhaite, sans nécessairement le savoir, préserver celui à qui on s’adresse.

Salvus, qui dans notre langue vernaculaire signifie « sauf »… sauf que signifie aussi, « en même temps » : sans !

Si les chauves-souris sont accusées, avec autres pangolins, d’avoir véhiculé un virus célèbre, méfiez-vous, tout de même, des souris fournies en pilosités, qui schizophrènes qu’elles sont, cohabitent avec une chatte et qui sont à l’origine du morpion, alias le « pou pon ! » !

Je préconisais naguère, la lecture de la fable de La Fontaine : « Les animaux malades de la peste » ; que ceux qui n’ont pas été atteints par la peur qui permet, selon Machiavel, d’asservir les consciences tout comme les religions-, liront ou reliront pour se prémunir de la contamination, comme si cette lecture leur servait d’amulette ou de scapulaire.

Ne pas vouloir voir la réalité est une forme de cécité, encore plus grave que celle qui affecte les aveugles ; fermer les yeux magiquement pour ne pas voir c’est croire, c’est-à-dire refuser la raison pour s’enfermer dans la foi illuminatrice, cette « nuit de la conscience », de laquelle toute volonté et raison sont absentes.

Pour vous préserver de toute contamination virale ou en guérir, allez à Lourdes et si vous ne pouvez pas vous déplacer, procurez-vous l’eau bénite de cette localité sur internet, à purifier avec la ,rime riche de la sainte de ce lieu pour la rendre potable : l’anisette !

« Le corps beau qui ne croa pas. »

Charles Garetto.

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